
Les portraits de la Bande Passante, une série de feuilletons divisés en plusieurs épisodes sur la vie et l’œuvre d’artistes africains francophones et français également, dont la musique nous berce depuis plus de quatre décennies.
De Manu Dibango à Youssou N’Dour en passant par Jane Birkin et Salif Keïta, découvrez la biographie sonore de ces groupes et chanteurs à travers des archives, souvent exclusives, de leurs débuts à aujourd’hui.
Collaborations, combats, engagements, vie extra-musicale, cinématographique, voire politique. Le tout commenté par le musicien mis à l’honneur, qui revient sur ses plus beaux moments, ses éventuels regrets et ses projets.
Un grand merci à la sonothèque de RFI et à l’INA.
Réalisation : Cécile Bonici
Salif Keita: ses combats, ses engagements (4/5)
Dès son plus jeune âge, Salif Keita, albinos, est la risée de tous, chagrin et désespoir l’envahissent alors. Mais très tôt, il va décider de tenir le coup, d’assumer sa condition, laquelle en définitif, va lui apprendre énormément, lui permettre de se forger un fort caractère, un esprit de résistance. Aider les albinos tant sur le plan médical que sur leur stigmatisation ou exclusion, devient sa priorité. Dans ce 4ème épisode, les engagements et les combats de Salif Keita. L’occasion d’entendre également Inna Modja, qui fait partie des nombreux artistes qu’il va aider ou bien le militant politique français d’origine malienne Anzoumane Sissoko.